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SODOMIE

 



SODOMIE

« Go get fucked up the ass by the Greeks ! » (« Va te faire enculer chez les grecs »). Le coït anal est une délicieuse pratique sexuelle qui implique la pénétration de la queue dans le cul. Le sexe anal n'est pas apprécié exclusivement par les homos, non-non. D’après le rapport Spira concernant les hétéros, 30 % des hommes et 24 % des femmes l’ont pratiqués au moins une fois dans leur vie. On remarque une pointe à 39 % chez les hommes et 33 % chez les femmes de 25-34, ans. Ces chiffres tombant à 15 % pour les plus de 55 ans. La sodomie est une facette importante de notre sexe-culture collective qui tend à se développer dans les nouvelles générations.

Les hommes entre eux s’y adonnent depuis la fin des temps. Le sexe anal est agréable en raison de la présence de nombreux nerfs dans le troufignon. La sodo offre également l’avantage de stimuler la prostate. Souvent il est vrai que les premières sodomies peuvent être douloureuses. Nous verrons ici quelques conseils permettant de réduire, voir d’éliminer ces inconvénients. La première cause de ces douleurs est non pas forcément physiologique mais psychologique. L’anus et sa pénétration reste encore tabou et beaucoup de sociétés la condamnent toujours. N’est-il pas vrai que dans de nombreux états, cette pratique fait encore encourir la peine de mort, au XXIè siècle tout de même (ah !, les avancées de notre prétendue humanité…).

« Quand il me saute, j'ai la boite noire qui explose en Vol ». Le terme sodomie, vient du nom de la ville de Sodome que l’Ancien Testament associait à celle de Gomorrhe dans un sombre destin. Lieu de stupre, puni par le joug divin, la cité détruite par Dieu donna son nom à la pénétration anale. Son étymologie est donc elle même porteuse d’un sens négatif et répressif dont il faut se défaire. On préférera alors les termes sodo, enculages, enculades ou entreculages et patati et patata. La sodomie est un coït subversif parce que non procréatif.

Se faire sodomiser pour la première fois n’est pas chose facile. Le poids des interdits pèse sur nos consciences et ailleurs. Le rectum reste avant tout le lieu de la défécation et du caca : « mais c’est dégoûtant chéri ! ». Il provoque donc le plus souvent rejet et répulsion. Dans les années 1980, le coup de grâce à été donné par le sida : la sodomie devenait la pratique la plus contaminante. Il n’empêche que beaucoup aime le sexe anal. D'autres le détestent. D'autres ne l'ont pas essayé encore et sont curieux. Et beaucoup de gens sont attirées par lui justement parce qu'il est tabou et mystérieux. L’anus est une partie du corps délicieuse à lécher. Les sensations qu’elle provoque sont nouvelles et différentes de tout autre chose. Pour le pénis également, les sensations sont neuves. Généralement plus serré qu’un vagin, le rectum embrasse et serre globalement le phallus. Une sodomie bien préparée ne devrait jamais être douloureuse. Pour cela, soyez patient et abusez de lubrifiant. Si vous mettez un préservatif, utilisez systématiquement un gel à base d’eau. Les gels gras comme la vaseline altèrent les capotes.

Les lavements

Les lavements irritent la muqueuse. Ils doivent être réalisés avec de l’eau tiède, sans produits détergents. Une même douchette rectale ne doit pas être utilisée par plusieurs personnes sans être désinfectée entre les utilisateurs (la faire tremper dans du Dakin Cooper stabilisé en pharmacie, puis bien rincer à l’eau).

 

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