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principales positions pour la sodomie

 



PRINCIPALES POSITIONS DE LA SODOMIE

« J’aime quand il me démoule le flamby ». Une position peut se révéler plus stimulante que d’autre pour des raisons autres que physiologique. Certaines mecs préfèrent être face à leur amant pour mieux le regarder et communiquer. D’autres préfèrent des sensations plus chiennes et bestiales, à quatre patte, l’amant derrière : « oh oui vas-y fort ». La cambrure du dos du partenaire pénétré ainsi que celle du pénétrant est capitale pour le plaisir. Modifier cette cambrure permet de varier l’angle d’insertion de la queue. Savoir ce qui vous plaît comme ce qui vous déplaît et donc primordiale.

Une bonne position de départ est le « chien de fusil » ou les partenaires sont allongés sur le côté l’un contre l’autre. Ceci empêche le pénétrant d’aller trop rapidement, et permet le contrôle complet, par le pénétré, de la pénétration. Une autre position pour le sexe anal est une variation de la position de missionnaire. Le passif s'étend sur le dos tandis que l’actif s’allonge par dessus. C’est une position particulièrement intime, où les deux partenaires se font face mais qui peut être douloureuse au départ.

« Faire space montain ». Une des meilleurs positions plébiscitée par les cybercochonnes de l’espace, pour s’initier à la sodomie est à quatre patte. Derrière, sur les genoux, vous tenez les hanches. Elle permet aux fesses d’être bien écartées et à la rondelle d’être bien tendue.

« Il était grand, il était beau mon missionnaire ». La position la plus courante de fornication est celle dite du missionnaire : le pénétré couché sur le dos, les jambes écartelées, la passif vautré sur lui, le cucutant. Cette position commune permet l’insertion aisée de la queue. Cette posture permet également aux deux protagonistes de se regarder droit dans les yeux et, éventuellement, de s’embrasser autant qu’ils le désirent ou de se tirer la langue. Si le pénétré le souhaite, il peut lever encore plus haut les jambes en l’air, et entourer le dos de son partenaire, ce qui permet une pénétration encore plus profonde et intense du gland turgescent.Mais aussi lui griffer le dos jusqu’au sang, hurler à en perdre la laine et j’en passe et des meilleurs. Le problème est que certains mecs se sentent écrasée dans cette posture et éprouvent du mal à respirer (surtout dans les cas d’amant bears). De plus, il leur est plus difficile de se branler « Acalifourchoner ». Le pénétré sur le pénétrant. Il entoure la taille de son partenaire avec ses jambes. Les cuisses bien écartées, jambes pliées. Position idéale pour guider la queue et pour faciliter l’entrée du rectum. Lé pénétré peut également positionner ses pieds ou ses mollets sur les épaules de son partenaire, les cuisses ramenées sur la poitrine, permettant une pénétration vaginale maximale.

Le pénétrant allongé sur le dos du pénétré. L’actif peut écarter légèrement ses jambes tendues ou les fesses de son partenaire pour une pénétration plus profonde. La stimulation clitoridienne est maximale. L’homme à genoux devant la femme. Au bord du lit, la femme est fourrée par l’homme qui s’agenouille entre ses cuisses.

 

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