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Zoophilie
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ZOOPHILIE La zoophilie est une pratique consistant à avoir des rapports sexuels avec des animaux, chien, chat, cochon, vache, chèvre, âne, femme ou même cochon d’inde(que, comme le raconte la célèbre blague, l’on entoure au préalable de schotch, afin qu’il n’éclatent point). On parlait autrefois de bestialité. Selon le rapport Kinsey, dans les années 1950, 17 % des garçons américains de milieu rural avaient eu au moins une relation sexuelle avec un animal. En ville, il est vrai, il est plus difficile de se satisfaire à l’aide d’une chèvre ou d’une truie ( A ne pas confondre avec les « cybercochonnes de l’espace). Cela ne court pas les rues. Selon Kinsey, en moyenne, 8 % des hommes et 3,6 % des femmes étudiés avaient avoué avoir eu des relations sexuelles avec des animaux. Pour les femmes, il s’agissait d’animaux domestiques. Pour les hommes, il s’agissait d’animaux de ferme comme des moutons, des veaux ou des ânes. La bestialité masculine comprenait généralement des contacts vaginaux, alors que la bestialité féminine se limitait à obtenir le cunnilinctus d’un animal mâle ou à le masturber. Quelques femmes adultes ont entraînés leur chien à les pénétrer et ont régulièrement des rapports sexuels. Selon Master et Johnson, la bestialité « est issue de la curiosité, du désir de nouveauté ou d’un désir de détente sexuelle lorsqu’il n’y a pas d’autres partenaire disponible. La zoophilie entraîne quelquefois des actes sadiques qui peuvent blesser l’animal ». Les actes courants de la pratique zoophile sont la masturbation de l’animal (zoo fellation), l’introduction de la verge de l’animal dans le vagin ou l’anus ou la pénétration de l’animal par les mêmes voies (« Médor, vas-y fort ! »). Il en existe de très nombreuses variantes. La cynophilie (avec chien) est certainement la plus répandue. On peut étaler la nourriture préférée de son chien-chien adoré sur ses parties génitales afin de se les faire lécher ; s’introduire des croquettes dans la vagin puis se faire brouter la minette par minou. Certains préfèrent les oiseaux, les fourmis et les insectes (formicophilie et insectophilie) ou encore les serpents (« quoi de plus phallique qu’un serpent ? »). L’olphidicisme est une pratique sexuelle impliquant des serpents, reptiles et certains poissons. La simiophilie concerne les singes (King Kong). Le felching consiste à l’introduction d’un petit animal vivant ou d’une partie d’animal dans le vagin ou l’anus. On peut envelopper l’animal dans un préservatif ou un sac en plastique (« papa ou est mon cochon d’inde ? »). La nécrobestialité concerne les animaux morts. D’autres personnes fantasment en observant des animaux s’accoupler (voyeurisme animalier).
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