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DOIGT AU CUL ET MASSAGE PROSTATIQUE

Certaines personnes ignorent encore ce phénoménal don de dieu qu'est la prostate, organe spécifiquement masculin, ainsi que les délices que procure son massage, qu'il soit effectué par un doigt, un god ou même la main durant un fist-fucking, wahoo. Pourtant, cette glande est bien chez les hommes l'équivalent du point G chez la femme. Une sorte de clitoris interne. Lorsque l'on sait que c'est uniquement à partir des années 60/70 que l'on a découvert des point aussi sensibles que le point G ou l'innervation profonde du clitoris, on peut se dire qu'il faudra encore quelques années avant que la science ; hétéronormée et -qu'elle le veuille ou non-morale, donne à ces points leur place capitale. Certains mecs arrivent même à l'éjaculation par la seule stimulation de la prostate. De fait, les femmes sont exemptes de cette jouissance et ne peuvent donc pas totalement ressentir et comprendre le plaisir et la jouissance d'un homme à se faire sodomiser. Légèrement plus haut de la prostate, se trouve la vessie. Sa manipulation interne peut quant à elle provoquer l'envie de pisser. Il ne faut pas s'en inquiéter, c'est un réflexe tout ce qu'il y a de plus normal. Ainsi, lors de son message, il peut arriver tout à la fois que coulent quelques gouttes de liquide séminal, que se produise une éjaculation ou une miction. Si ce n'est pas top tout ça ! Lorsque la stimulation de la prostate provoque une éjaculation, le liquide tend plutôt à couler qu'à gicler mais la quantité est sensiblement la même. Il se peut aussi que l'on ai affaire juste à du liquide séminale donc sans spermatozoïdes. Au premier abord, la sensation provoquée par son massage peut être désagréable voir douloureuse. À terme, faites-moi confiance, les sensations peuvent s'avérer très agréables. Il s'agit, surtout au début de la stimulation, de ne pas être tenduE et de ne pas avoir peur de ce jeu. Alice Kahn Ladas2 explique : « une malaxation de la zone de la glande produit des sensations à la fois nouvelles et excitantes : tant émotionnellement que physiologiquement, elles sont bien différentes de celles qui accompagnent normalement la stimulation du gland. La différence est comparable à celle qui, chez la femme, sépare la stimulation du point G ou du clitoris ». la stimulation de cette glande ne rend bien sur pas plus vulnérable au cancer de la prostate ou à la prostatite et l'on peut y avoir recours sans aucune modération.